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Emet m'Tsiyon

Sunday, July 27, 2014

How the Main Stream Media (in France) Falsify the News about Jews and Israel

Prof. Shmuel Trigano, who writes a French blog on Times of Israel, recommended this excellent analysis of how the French press on the whole falsified what happened during the anti-Israel, anti-Jewish demo-cum-riot by French Arabs/Muslims and French "leftists" on 13 July 2014. We have quoted from Prof Trigano before on this blog.

This is really an excellent article for understanding some of the methods of anti-Israel, anti-Jewish propaganda. A linguist takes apart how these everyday techniques are used in the specific case of an AFP [agence France presse] article on the recent anti-Jewish, anti-Israel riots and demos in France. It is written in terms that are easy enough to understand, like a superior explication de texte. Only in French unfortunately. I will translate the essential points when I have more time.

The AFP article uses all sorts of rhetorical tricks: minimizing what happened on the Rue de la Roquette near the synagogue, blaming Jews --in this case the LDJ (Ligue de Defense Juive)-- for the attack on the synagogue, denying or omitting the Judeophobic/antisemitic nature of the slogans of the march, falsely claiming a "feminine" character for the demo/march, thus softening its brutal, hostile/enraged image, giving ample space to the self-justifications by marchers/demonstrators while allowing only a perfunctory opportunity for an official Jewish spokesman to offer his opinion, while qualifying his statement as a claim on his part. Etc.

It was written by Jean Szlamowicz for www.europe-israel.org . He is
Professeur des Universités, linguiste, auteur de Détrompez-vous ! Les étranges indignations de Stéphane Hessel décryptées (éditions Intervalles)

http://www.europe-israel.org/2014/07/pogrom-a-paris-le-silence-des-medias-francais-par-jean-szlamowicz/

Pogrom à Paris : le silence des médias français

Par Jean Szlamowicz, Professeur des Universités, linguiste, auteur de Détrompez-vous ! Les étranges indignations de Stéphane Hessel décryptées (éditions Intervalles)
La narration des événements construit leur perception et la terminologie utilisée permet de manipuler la vision des faits. En France, quand des centaines de jihadistes veulent casser du Juif, il s’agit de « tensions » ou de « heurts ». Face à des émeutes anti-juives à Paris, comme d’habitude pour les médias officiels, il n’y a rien à signaler. Suite aux manifestations jihadistes contre Israël du 13 juillet à Paris et à l’attaque de la synagogue de la rue de la Roquette, le schéma narratif habituel des médias français s’est mis en place : atténuation des faits, justification des attaques et retournement de l’accusation contre les Juifs.
Le caractère volontariste de cette narration mensongère, aisément démontable par l’analyse de texte, constitue un véritable scandale qui met en péril les principes républicains et le droit à une information qui rende véritablement compte de la situation d’insécurité existant en France, pour les Juifs comme pour toute personne s’opposant aux islamistes.
De l’atténuation à la falsification
L’article de l’AFP, recopiée littéralement par Libération (http://www.liberation.fr/societe/2014/07/13/des-heurts-a-paris-a-l-issue-d-une-manifestation-pro-palestinienne_1063299) ou 20 minutes, a servi de base à la plupart des compte-rendu. Cette dépêche construit minutieusement une version expurgée de la tentative de pogrom. A lire ce texte lénifiant, on croirait qu’il ne s’est rien passé : cette atténuation même contribue à présenter les Juifs comme des paranoïaques.
L’article ne cesse de rappeler le caractère innocent de la manifestation, ce qui en sauvegarde les revendications :
- « Dimanche, des heurts ont émaillé la fin de la manifestation parisienne. ». On remarque la poétisation (avec le cliché journalistique que constitue la métaphore de l’émail) et le rejet des heurts comme appendices non définitoires de la manifestation. Rappelons que le défilé a constitué un véritable appel à la guerre sainte en brandissant des effigies de roquettes à envoyer sur Israël (que les manifestants embrassaient !) et en criant « Allahou Akbar », « Mort aux Juifs », « Sales Blancs », « On va vous cramer », « Hitler avait raison ».
- L’auteur de l’article ne cesse de minimiser les faits :
« Des heurts limités avec les forces de l’ordre ont éclaté dans certaines rues. »
« Des dégâts légers ont été causé à des devantures de commerces. »
« Les échauffourées n’ont pas duré très longtemps et ne se sont pas propagées au reste de la manifestation »
« Selon la préfecture de police, ces heurts étaient dus à de petits groupes de jeunes gens qui ont été «facilement contenus». Il n’y a pas eu de blessés. Il y a eu six interpellations. »
« Samedi, des manifestations similaires avaient eu lieu dans le calme à Bordeaux […] et à Marseille. »
 « Limités », « légers », « pas très longtemps », « petits groupes », « pas de blessés », « calme »… il s’agirait en somme d’un non-événement. Pourtant, les vidéos abondantes qui ont été prises par des riverains donnent une autre image de ce qui a bel et bien été l’assaut d’une synagogue. Une description plus objective ferait état d’attaque à l’aide de battes de base-ball et de barres de fer (les outils naturels d’une manifestation pacifique, bien sûr, sans aucune préméditation d’agression), de Juifs terrés dans la synagogue pour ne pas se faire lyncher, des passants insultés, des membres de la LDJ empêchant les émeutiers d’investir la synagogue, des brigades d’émeutiers avec barres de fer se baladant rue des Rosiers ou rue de Turenne pour tenter de casser les « magasins juifs ».
En présentant les faits à sa manière, l’article établit une version officielle qu’il sera très difficile de remettre en cause sans paraître avoir une position de parti pris subjective. Précisons que, dans la gestion du récit, l’anonymat du texte de l’AFP contribue à son effet d’autorité : il n’est pas attribuable à une personne spécifique, mais émane d’une autorité, ce qui tend à présenter son contenu comme factuel et objectif.
- ‘Dans le calme, la foule, très jeune et féminine, a scandé des slogans comme: «Nous sommes tous des Palestiniens!», «Israël assassin!» ou «Une seule solution, fin de l’occupation!».’

L’innocence féminine est invoquée par le journaliste afin de dédouaner le cortège de toute accusation de violence. Comme si les femmes ne pouvaient pas être militantes et comme si leur mise en avant ne faisait pas partie d’une stratégie de communication. La réalité du défilé n’était d’ailleurs pas sa féminité et une telle présentation est d’emblée une falsification.
- « En marge de la manifestation, «certains individus ont provoqué des troubles et ont essayé de pénétrer par la force dans deux synagogues situées rue des Tournelles et rue de la Roquette» mais «en ont été empêchés par les forces de l’ordre», a dénoncé dans un communiqué la maire de Paris Anne Hidalgo, appelant «au calme face aux tensions» au Proche-Orient.
Le recours insistant aux mêmes techniques rhétoriques pour minorer les faits est à l’œuvre : « en marge de la manifestation » permet une nouvelle fois de dissocier l’attaque de la synagogue des positions politiques exprimées par la manifestation. La notion d’« individu » permet de souligner le caractère isolé de l’initiative alors qu’une bonne centaine de personnes a investi la rue de la Roquette.
- Dans sa construction même, l’article manipule le récit. En donnant d’abord la parole à la version « pro-palestinienne », le texte construit une narration première que l’ajout d’une parole juive en fin d’article ne viendra pas modifier. C’est une tactique narrative classique : on établit une version des faits avec des termes virulents et, pour donner l’impression d’un équilibre des positions, on donne ensuite la parole à une autre version, quantitativement moins importante, stylistiquement moins percutante et augmentée de soupçons (« Le président du Consistoire central, Joël Mergui, a affirmé que […] » revient à donner à ses propos une valeur strictement subjective).
Que de telles manifestations soient autorisées malgré leur risque évident pour l’ordre public en dit long sur la peur des pouvoirs publics vis-à-vis d’une entité désormais bien réelle en France, à savoir « la rue arabe », facteur d’émeute latent. Cette peur est prolongée par le retrait critique des médias qui préfèrent « comprendre » les manifestants que les fustiger pour ce qu’ils sont, à savoir des islamistes antisémites violents.
Justification
- L’article reproduit avec une gourmandise patente les slogans de la manifestation qui présentent Gaza comme victime d’Israël (‘Au lendemain de la «petite finale» du Mondial de football, une pancarte indiquait «Brésil-Pays-Bas 0-3, Israël-Gaza 0-125 tués. Qu’attend le monde pour réagir?»’). L’article décide de faire l’impasse sur les « Allahou Akbar » et les « Morts aux Juifs » qui ne sont pas mentionnés.
- « De nombreux manifestants portaient à bout de bras des pancartes sur lesquelles ils avaient collé des photos, tirées de sites web, représentant des enfants palestiniens tués ou blessés, des maisons rasées ou des champignons de fumée montant de quartier de Gaza bombardés. »
L’auteur de l’article n’exprime aucun recul sur la réalité décrite par ces pancartes qui sont présentées comme décrivant des faits. On sait pourtant (même Libération l’a reconnu !) que ces images proviennent pour la plupart de Syrie.
- Le texte cite les propos des manifestants avec une neutralité de complaisance qui revient à promouvoir le discours ainsi reproduit sans aucune distance critique et sans correction des faits : «Je suis venu pour dire non à ce massacre», a dit à l’AFP Amid Hamadouch, 30 ans, un autocollant «Boycott d’Israël, Etat raciste» sur son blouson. «Ils bombardent des innocents. Il y a certes des missiles lancés du côté du Hamas, mais la riposte israélienne est disproportionnée. Ils attaquent la population civile et non les responsables du Hamas.»
En reproduisant les arguments des manifestants, l’article abonde dans le sens de leur discours et justifie les appels à la violence auxquels ils participent. Le procédé stylistique de l’hypotypose contribue à rendre vivante l’horreur de la guerre (portraits d’enfants tués, bombardements, etc.) : cet appel à l’émotion est cependant largement biaisé puisqu’il ne montre jamais d’autre point de vue que celui du Hamas. On ne verra donc pas les morts arabes causés par les propres roquettes du Hamas, les opposants politiques assassinés, les civils forcés de servir de boucliers contre les frappes envers les maisons des dirigeants du Hamas, les enfants dans des camps d’entraînement militaire. Aucun remarque des journalistes pour souligner que la population est otage du Hamas, que le Hamas se glorifie des ses propres morts qu’il cherche à provoquer (sa devise : « Nous aimons la mort plus que les Juifs n’aiment la vie »). Aucun journaliste pour préciser que les images évoquées viennent en réalité de Syrie. Aucun journaliste pour décrire comment Tsahal prévient la population des frappes ultra-ciblées (tract, appels et sms, frappes d’avertissement pour laisser le temps d’évacuer). Aucun journaliste pour rappeler que 120 morts en 500 raids aériens, c’est justement la preuve de la retenue israélienne (Nuremberg, en janvier 1945, c’est 1700 morts en 40 minutes ; Dresde, en février 1945, c’est 25 000 morts en deux jours). Aucun journaliste pour rappeler ce qu’est le Hamas, organisation jihadiste terroriste suprémaciste avec Hitler comme référence militaire.
islamistes paris
Accusation
En présentant les faits de manière aussi bancale, les médias — qui, farce tragique, se croient « de gauche » — reprennent en fait à leur compte la version du Hamas, de l’OLP et, plus globalement, de l’Organisation de la Coopération Islamique. Le retournement moral auquel on assiste depuis une dizaine d’années consiste pour cette frange de l’opinion à présenter les jihadistes comme des résistants à l’oppression israélienne. Rappelons que le programme du Hamas est la destruction d’Israël, ce qui n’a rien d’une raison sociale humaniste ni d’une réaction à une injustice.
Ce qu’ils ne veulent pas voir, c’est qu’une partie de la population musulmane en France accepte de promouvoir un antisionisme de façade qui se transforme dès le moindre mouvement de foule en antisémitisme spontané.
Le dévoiement moral de ce genre d’article, malheureusement quotidien, aboutit à un retournement radical faisant des Juifs les responsables des attaques dont ils sont victimes. C’est ainsi qu’après l’agression de la synagogue d’Aulnay, un conseiller fédéral écologiste a pu considérer qu’attaquer une synagogue est un acte de guerre normal et compréhensible. (http://www.europe-israel.org/2014/07/un-conseiller-federal-deurope-ecologie-les-verts-juge-pas-etonnantes-les-attaques-de-synagogues-en-france/). De même, la députée européenne EELV Malika Benarab Attou se dresse-t-elle pour défendre le Hamas comme mouvement « élu » par son peuple… Il est vrai que le communautarisme arabo-musulman ne se cache plus et que même des élus PS s’y adonnent sans cacher leur antisémitisme naturel (Ahmed Chekhab à Vaulx-en-Velin, sources : Le Progrès, 06/07/14 ; http://www.leprogres.fr/rhone/2014/07/06/vaulx-en-velin-emoi-apres-les-propos-antisemites-de-l-adjoint-aux-sports).
La complicité médiatique
L’impunité morale qui accompagne les émeutes constitue le fait marquant des récits médiatiques. En ne cessant d’alimenter par leur présentation des faits anti-israélienne une haine anti-juive, ces journalistes sont coupables d’incitation à la violence. Ils ont beau jeu ensuite de jouer les vierges effarouchées en déplorant « les violences » avec un pacifisme pudibond et hypocrite.
Comment ces prétendus intellectuels peuvent-ils défendre les hordes armées de barre de fer ? Peut-être croient-ils que prendre leur parti au nom d’une compassion imbécile et jeter les Juifs en pâture à la hargne islamique les détournera de s’attaquer aux gentils gauchistes ?
A côté des synagogues, on sait déjà que les églises sont quotidiennement saccagées. Invoquera-t-on aussi Gaza pour expliquer ces violences ? A cet égard, le plus effrayant reste la passivité de la population, pétrifiée par la peur et débordée par la foule islamique. La mollesse des discours et des actions politiques révèle une impuissance alarmante pour l’ensemble de la population française.
Les loups sont entrés dans Paris et ils ont faim.

Tuesday, July 15, 2014

Professor William Polk, an Academic & Diplomatic Authority Promotes Big Lies for 60 years Now

Prof William Polk has had a double career, academic and diplomatic, head of Middle East policy planning at the State Dept. For many many years he has been promoting the big lie of Arab innocence. And he still is. Hence he has done great damage, especially since he has had his academic authority to lend credence to his pro-Arab propaganda lies. If anybody does not think that the State Department has been hostile to Israel since the beginning, one of the  pieces of evidence for the affirmative is the career and words and deeds of Polk. Here he is in a fresh blast of baloney, repeating the same lie of Arab innocence. But he is careful to denounce the Holocaust and Western Judeophobia, which he feels he  needs to do in order to establish credibility and moral legitimacy for his insidious claims of Arab innocence.
 
I highlight below his repetition of old lies:
For their own interests, the British and then the Americans just closed their eyes to the developing tragedy; both were content to have a poor, defenseless Asian people pay the price for Western anti-Semitism. The Jewish community grew, appropriated most of the best land (largely by purchase from absentee owners) and benefitted from massive infusions of foreign money (now totaling well over $100 billion or more than all the aid programs for the rest of the world). Meanwhile, the Jewish fate in Europe moved toward the Holocaust.
 
What did that actually mean? If I were a Jew in Germany in the 1930s, I would have gone to America and if I could not get in -- some could not -- to Palestine; if I were an Arab at almost any time from 1920 onward, I would have tried to stop the flood. The real culprit is neither the Jew nor the Palestinian. It is us. Anti-Semitism is a Western, not an Asian, disease. [my emph.]
 
List of lies:
1) before WW One the Muslims in this country saw themselves as part of the mighty Ottoman empire and were loyal to it. They did not see themselves as a "poor, defenseless Asian people," nor as a separate "Palestinian" people.  Scions of leading Muslim families served in the Ottoman imperial service . Husseinis, Khalidis and Abdul-Hadis held high positions. Rashid Khalidi, one of the family, is now a professor at Columbia University in New York and is a friend of President Obama.
 
2) Arabs/Muslims/Palestinian Arabs/ were not guilty of antisemitism which was purely a Western disease, so he claims. This is false since Judeophobia is inherent in Islam generally [although it can be interpreted away if one wants]. Here is a documented article about Judeophobia in Islam and especially on the part of Palestinian Arab Muslims. It also shows how Jews were ill treated specifically in Jerusalem. 
Polk plays a rather elegant trick with this statement by so liberally and generously and open-mindedly taking the guilt upon "Us." But the purpose is to depict the Jews as guilty for taking a land away from the helpless, innocent Palestinian Arabs who had never done them any harm. Supposedly. Moreover, Polk mentions the Holocaust but does not admit that Arabs or Palestinian Arabs particularly took part in it, especially the chief Palestinian Arab leader, Haj Amin el-Husseini who spent most of the WW2 years in Nazi Germany, fascist Italy, their satellite states in eastern Europe and the Nazi-occupied countries. Husseini visited Nazi murder camps in Poland.
 
3) About real estate in the country. First he claims that the Zionist Jews "appropriated most of the best land." That word appropriated means took by force or usurped unfairly with some amount of coercion and/or legal swindling. However, he then corrects himself by writing that Jews/Zionists obtained the land "by purchase." So which is it? This is deliberate double talk.
 
Polk goes on:
In the "one state," the Arabs will be the subjugated minority with few rights and little or any security -- they will be the "Jews" of an Israeli Germany or an Israeli Imperial Russia, cooped up in ghettos, imprisoned, driven into exile or subjected to a final partition. [my emph.]
 
In fact, the experience of Israeli Arabs shows that that outcome is unlikely to say the least. Maybe it is a projection of what Polk knows about the Jewish experience as dhimmis in Arab/Muslim states. Moreover, it is an old story that Judeophobes like to reverse the picture of Jewish oppression in Christian and Muslim lands and charge the Jews with being oppressors, persecutors, etc.
 
So Polk has been dangerous for some 60 years and is still going strong. Here is my critique of Polk and of his anti-Israel propaganda book from the 1950s. Polk's book, Backdrop to Tragedy (1957) is truly disgraceful.
 

Monday, July 07, 2014

Joseph's Tomb -- Updated to 2014

Arab mobs attacked Joseph's Tomb today. The first time that had happened was in the year 2000, on the same day as the Jewish holiday of Sukkot. The mobs killed one Israeli soldier, as it happened a Druze Israeli whose name was Yusuf, that is, Joseph. I wrote up the story and gave historical background here. One of the claims made by the Arab rioters and their supporters in 2000 was that the tomb was not that of the Biblical Joseph but of a Muslim holy man or shaykh also named Yusuf. One of the provisions of the ill-fated Oslo accords was that Israeli troops would guard Joseph's Tomb which is now located within the city of Nablus. I don't recall any Arab statement, official or otherwise, that explained why Arabs were attacking the tomb --literally trying to take it apart stone by stone after Israeli troops were withdrawn.

Arab mobs have again attacked the tomb. To me, the repeated attacks on the tomb by Arabs demonstrate that they see it as a Jewish holy place, not a Muslim holy site. Otherwise they would try to protect it, not harm it.

Times of Israel reported:
Palestinians tried to burn Joseph’s Tomb in the city of Nablus Sunday night, PA sources said. Palestinian security forces using tear gas prevented the rioters from the reaching the site, sacred to Jews, Christians, Samaritans, and Muslims.
Link to TOI article here.