"Obama, Candidate of the Super-Rich"-- Michel Gurfinkiel

In Italy the fascists are divided
into two categories: the fascists and
the anti-fascists
-- Ennio Flaiano
[quoted by Oriana Fallaci in The Rage and the
Pride, Italian edition, Milan 2004, p 161]

Obama had a lot of rich folk, even very rich folk, on his side in the recent election campaign. That did not stop Obama, of course, from demagogically attacking John McCain for supposedly being on the side of the rich, of "billionaries," as Obama put it.

"We don't need four more years of the old tired economic policies that favor billionaires." [approximate quote].

The typical deceitful demagoguery of a sinister politician. Michel Gurfinkiel, an editor of the French weekly, Valeurs Actuelles, shows how Obama was deceitful:

But what may surprise some observers, is that Obama also benefits [besides from Blacks & the "Left"] from the support of Very Big Capital. According to the economic analysis agency, Prince & Associates, the "average large fortunes" of America, whose wealth is situated between 1 and 10 million dollars, mostly support the Republican candidate John McCain. But two-thirds of the "super-rich," whose wealth reaches or exceeds 30 million dollars, support Obama. Warren Buffet, the largest fortune in the United States and the world, according to Forbes magazine (62 billion dollars), has announced that he was voting for the Democratic candidate, just like the financier George Soros (9 billion dollars).

This is reflected in Obama having

the largest election budget in American history. . . [much] more than that of the Republican George Bush in 2004.

Obama gathered

four times more funds than McCain for his campaign on the national level....
The super-rich have not rallied to Obama out of opportunism. They have been betting on him since the beginning of his campaign. . . . Some of them even before he was committed [to running]. . . .
The tax raises proposed by the Democrats do not scare them, to the extent that their wealth is globalized and, thereby, escapes --at least in part-- American taxation.

Octobre 30, 2008
USA/ Obama, candidat des super-riches
-- Michel Gurfinkiel
. . . .
Mais ce qui surprendra peut-être certains observateurs, c’est qu’Obama bénéficie en outre du soutien du Très Grand Capital. Selon l’agence d’analyse économique Prince & Associates, les « grandes fortunes moyennes » américaines, dont le patrimoine se situe entre 1 et 10 millions de dollars, soutiennent en majorité le candidat républicain John McCain. Mais les deux tiers des « super-riches », dont le patrimoine atteint ou dépasse les 30 millions de dollars, soutiennent Obama. Warren Buffet, la plus grosse fortune des Etats-Unis et du monde selon le magazine Forbes (62 milliards de dollars), a fait savoir qu’il votait pour le candidat démocrate, tout comme le financier George Soros (9 milliards de dollars).

Cette mobilisation se traduit, en pratique, par le plus gros budget électoral de l’histoire américaine, estimé d’ores et déjà à plus de 200 millions de dollars, soit plus de 10 milliards de plus que celui du républicain George W. Bush en 2004. Obama aurait réuni quatre fois plus de fonds que McCain pour sa campagne à l’échelle nationale, selon le New York Times, et jusqu’à sept fois plus dans certains Etats. Le Washington Post observe pour sa part qu’Obama aurait dépensé 82 millions de dollars pour des spots télévisés pendant les deux premières semaines d’octobre, c’est à dire la moitié du budget global du candidat démocrate John Kerry pendant la campagne de 2004.

Les super-riches ne se sont pas ralliés à Obama par opportunisme : ils ont misé sur lui dès le début de la campagne, voire même, pour certains d’entre eux, avant même qu’il ne s’engage. Au début de l’été, ce soutien était déjà si important que le sénateur de l’Illinois a refusé l’aide publique – la bagatelle de 84 millions de dollars – à laquelle il avait droit. S’il l’avait acceptée, il aurait dû en effet accepter un plafonnement des autres sources de financement et publier la liste détaillée des contributeurs. Ce qui revenait à se lier doublement les mains, pour un résultat inférieur à celui qu’il était en droit d’espérer à travers les seules aides privées.

Les super-riches estiment que les difficultés économiques des années 2003-2008 (chute du dollar, hausse des matières premières et de l’énergie, bulles spéculatives) sont dues pour l’essentiel à un problème de confiance et que celle-ci ne peut être restaurée qu’à travers un changement d’administration à Washington. Les hausses d’impôt proposées par les démocrates ne leur font pas peur, dans la mesure où leurs patrimoines sont mondialisés et échappent donc, au moins en partie, à la fiscalité américaine.
[Michel Gurfinkiel est un des rédacteurs de l'hebdomadaire français, Valeurs Actuelles.]
- - - - - - - - - -
Everybody, American or not, has to ask himself whether a deceiver of this magnitude can be trusted in any way. Did any of the 200 million dollars that Obama collected for his election campaign come from Arab sources hostile to Israel?
- - - - - - - -
Coming: more on Obama, Emanuel, Zbig; Jews in the Middle East, Jews in Jerusalem, Hebron, etc; the fascism and Nazism of the so-called "Left," Arabs and Muslims as imperialists and allies of the "Left," propaganda analysis, peace follies, etc.